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| $ 95,715.64 | $ 42.65 B | 1.85% |
Il semble que le Nicaragua n’ait pas encore promulgué de loi réglementant les bitcoins, et que la Banque centrale du Nicaragua n’ait pas non plus émis de règles ou de directives à ce sujet. Toutefois, des informations indiquent que des bitcoins sont utilisés dans le pays.
Le monde a encore beaucoup à apprendre sur cette question” La Commission du commerce de Nouvelle-Zélande affirme que le bitcoin est couvert par la loi sur le commerce équitable et la loi sur le commerce. Il souligne qu’actuellement, malgré l’œil attentif des autorités gouvernementales sur le développement futur des monnaies virtuelles, le consommateur est en principe seul responsable de leur utilisation.
Malte ne dispose actuellement d’aucune réglementation concernant spécifiquement les bitcoins, et il ne semble pas y avoir de déclaration officielle du gouvernement sur la reconnaissance ou la politique à l’égard du bitcoin.
Des responsables de la Bank Negara Malaysia ont apparemment rencontré des partisans locaux du bitcoin en novembre 2013 pour en savoir plus sur cette monnaie. Cependant, aucune déclaration officielle concernant la réunion ou le point de vue de la Banque sur le système Bitcoin n’a été trouvée.
Les blocs sont découpés au fur et à mesure que chaque transaction est finalisée, les codes décodés et les bitcoins transmis ou échangés.
Dans le monde entier, des entreprises, de REEDS Jewelers, une grande chaîne de bijouterie aux États-Unis, à un hôpital privé de Varsovie, en Pologne, acceptent sa monnaie.
Des entreprises multimilliardaires telles que Dell, Expedia, PayPal et Microsoft le font également. Des sites web en font la promotion, des publications telles que Bitcoin Magazine publient ses nouvelles et ses cours, des forums discutent de la crypto-monnaie et échangent ses pièces.
Il a son interface de programmation d’applications, son indice de prix et son taux de change. Il n’est pas étonnant que le bitcoin soit apparu en 2008, juste après que Occupy Wall Street ait accusé les grandes banques d’utiliser à mauvais escient l’argent des emprunteurs, de tromper les clients, de truquer le système et de facturer des frais faramineux.
Les pionniers du bitcoin voulaient mettre le vendeur aux commandes, éliminer les intermédiaires, annuler les frais d’intérêt et rendre les transactions transparentes, afin de pirater la corruption, de créer une valeur de réseau organique et de réduire les frais.
